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            La Loi dans un pays dit «démocratique», est la manifestation de la volonté du peuple. Le droit du peuple dans ce système est illimité, les trois forces, législative, exécutive et juridique sont divisées afin d’être mieux contrôlées. Les actes ou décisions des trois forces sont présumés l’être, dans l’intérêt et au nom du peuple.

            Le principe du respect d'autrui exige que le droit soit assorti d'une loi.  Cependant, le parlement ne légifère pas pour condamner un fait précis et immédiat.  Le juge condamne un acte interdit par une loi.  Un acte peut influencer les représentants du peuple à légiférer, pourtant la loi n’est pas opérante à l’acte, elle n’a pas d’effet rétroactif.

            La Loi du 3 octobre 1940 en France, définie de manière précise le statut des juifs. Aucun juge n’a jamais contesté cette loi, d’ailleurs il n’est pas possible qu’un juge critique la loi en vigueur, il est tenu de l’appliquer.  Si on change le mot juif par le mot étranger, cette Loi est toujours en vigueur, applicable et appliquée.  Dreyfus était un Juif condamné pour le crime d’être juif, nous avons vu aussi que l’avocat de Omar Haddad a fait comprendre aux Français qu’il avait été condamné parce-qu’il était Musulman. Cependant, le Juge émet une hypothèse à l’égard de l’accusé en révélant qu’il pouvait tuer quelqu’un, vu qu’il était capable d’égorger des moutons.  La culture Musulmano-Juive dans la mise à mort d’un animal, est suffisante pour qu’un juge conclue à la condamnation d’un individu, présumé par la loi innocent.  Il n’appartient pas en Cour d’Assise à un juge, de dire si un accusé est coupable ou non. Il appartient aux représentants du Peuple de dire si oui ou non un accusé est coupable. Le juge qui dirige le jury vers un verdict dans le sens voulu est responsable de la condamnation. Il s’agit d’une tromperie ou d’une escroquerie dans le jugement.  Le jugement est un acte de conviction, un juge doit se convaincre de la culpabilité de l’accusé pour pouvoir aiguiller le jury. Quand le juge est convaincu que les Juifs ou les Musulmans méritent d’être réprimés, il n’a aucune difficulté à faire appliquer son jugement et à condamner son client pour crime d’appartenance à une race ou à une communauté.  Les juges sont issus de la population, ils ne sont pas étrangers.

Dans la nature, aucune loi, aucun principe ne défend un faible. Il est artificiel qu’une civilisation tente de préserver le droit des faibles.  Naturellement, les plus forts n’ont pas besoin de protection, ils se protègent eux-mêmes. Il est impossible de défendre les plus faibles par le beau mot «humanité»

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