Lettre aux
Musulmans des Ulis
Evolution des Facteur Dominant de la
Production Philosopie des Iranien Après Islam Déplacement dans le secteur
d’Activité Madame la Ministre de la Justice Le droit, la loi et la justice |
L’idée de la construction
d’une mosquée depuis longtemps aux ULIS était dominante. La Municipalité,
gouvernée par l’axe de gauche qui a accordé la construction de la synagogue
et de l’église s’opposait farouchement à la construction de la mosquée. Cependant, je pensais que la
construction de la mosquée n’était pas importante, l’Instruction des
Musulmans étant plus importante, car les premiers bénéficiaires du fanatisme
sont les ennemis de l’Islam. Les communautés juive et chrétienne des Ulis
ainsi que les communistes et l’extrême gauche ne s’opposent plus aujourd’hui
à la construction d’un lieu de prière pour les Musulmans. J’ai proposé deux solutions pour faire
valoir notre droit. 1-
Nous saisissons le Tribunal Administratif pour imposer à la
Municipalité un traitement identique avec les autres religions, 2-
Nous participons dans les élections municipales activement et nous votons
pour notre propre liste, ensuite par intermédiaire de nos délégués, nous
réclamons un traitement identique avec les autres religions. La
Municipalité, depuis la décision favorable du Tribunal Administratif et
l’annulation de la décision du Maire sait parfaitement : 1-
Que le Tribunal de Versailles n’hésite pas à rendre la justice, 2-
Que je n’hésite pas à faire valoir le droit de l’association que je
défends. Je dois noter que la meilleure solution est
la négociation et trouver une solution à l’amiable, mais dans le cas ou
l’injustice et la mauvaise foi ne laissent aucune possibilité, il faut faire
confiance en la justice. J’ai toujours été pour
l’intégration des Musulmans dans la Société Française. Je pense et je pensais
que la génération issue de l’immigration doit s’intégrer dans la vie
politico-économique de la cité. À mon avis, le Maire peut utiliser les
délires discriminatoires contre les Musulmans si la population le suit. Dans le cas contraire, un politicien
ne cherche qu’à se faire élire ou plaire à ses électeurs. Les Musulmans des
ULIS étaient toujours traités différemment, même pour les travaux simples
comme la surveillance des cantines scolaires. Le Maire intervenait
personnellement, pour empêcher que les surveillants de cantine des écoles ne
soient embauchés parmi les étrangers de conviction islamique. Néanmoins, une
grande partie des écoliers est d’origine musulmane. Le travail de surveillant de cantine scolaire en France
est souvent réservé aux étudiants, à mi-temps, sans tenir compte de leur origine
sociale, raciale, ou religieuse.
Les étudiants ulissiens d’origine étrangère qui se portaient candidats
pour ce poste étaient exclus, sous prétexte qu’ils étaient étrangers et que
la Loi Française interdit le travail de surveillant de cantine pour les
étrangers. Le racisme du Maire approuvé et même soutenu par la Municipalité
de gauche ne laissait que désespoir et ne cultivait que la haine. L’origine
de la délinquance était donc le racisme institutionnalisé par la gauche,
actuellement au pouvoir dans la Municipalité des Ulis. J’ai préparé un projet
contre la délinquance, selon ce projet, la raison de délinquance juvénile est
la distance entre les forces de l’ordre et les jeunes, un rapprochement entre
les policiers et les jeunes pouvait supprimer la méfiance entre les deux
parties. L’activité de notre
association a été interdite
jusqu’à ce que le Tribunal Administratif de Versailles annule la décision
arbitraire du Maire. Notre
projet, avec un peu de modification, a été repris par le chef du parti du
Maire des ULIS, devenu Ministre de l’Intérieur et la ville des Ulis a été
choisie comme ville pilote pour la mise en place d’un projet ressemblant au
mien. Le singe et l'homme ont une
différence, le singe imite et l'homme invente. Le projet de lutte contre
la délinquance aux Ulis a échoué. Nous avons malheureusement un taux de
délinquance très élevé. Cependant, les statistiques prouvent que l’année où
nous étions actifs, le taux de délinquance avait fortement baissé, bien que
le calcul des statistiques soit fait par ceux qui voulaient discréditer nos
activités. Cependant, l’association a
refusé de présenter une liste. L’association avait peur de prendre une action
l’exposant en public. J’ai donc décidé de présenter une liste électorale au
nom de l’association ACJI, dont j’étais le Président et j’ai réclamé la somme
récoltée grâce aux ventes des Cadres des versets du Coran. Les fidèles de Monsieur
SEFRIOUI, sans aucune connaissance de la religion, endoctrinés par
l’Association se déclarant tutrice des Musulmans, ont commencé des
représailles. C’est une secte avec toutes ses caractéristiques, les membres
de cette secte ne croient même pas à Dieu mais au Gourou ! L’Imam
actuel, avec 1300F se présenta à mon domicile, me proposant de signer un reçu
pour solde de tout compte, ce que j’ai refusé. Seule, la T.V.A des cadres représentait environ
18000F. J’ai demandé les
documents concernant le paiement de la T.V.A. l’Imam est parti en me disant qu'il ne se mêlait pas de
cette affaire. Néanmoins, l’association
devant ma persévérance a décidé de présenter une liste électorale. Monsieur
SEFIOUI était déjà condamné pour trafique de main-d’œuvre étrangère et ne
pouvait pas conduire notre liste. À mon avis, il risquait potentiellement
d’être à nouveau condamné pour trafique, fraude ou autres délits, car après
sa première condamnation il continuait sa méthode. Trois membres de
l’Association, parmi eux l’Imam actuel et le Président de l’Association sont
venus chez moi. Je leur ai
promis de ne pas leur réclamer la somme des Cadres, au cas où ils
présenteraient une liste, de respecter la Loi Française et d’aider à
l’intégration des jeunes musulmans dans la société. Nous avons décidé de
présenter une liste. M. SEFRIOUI, prétendait qu’il connaissait l’Ayatollah
TASKHIRY (le Guide de la Propagande Islamique d’Iran) et qu’il recevait ses
instructions. Étant donné qu’il était Marocain, il fallait également demander
l’avis du Consulat du Maroc. À mon avis, une liste électorale dans une
élection municipale, ne doit pas suivre les instructions des étrangers, ni
des Iraniens ni des Marocains. Néanmoins, je ne crois absolument pas que les
Iraniens ou Marocains aient investi dans notre élection. L’argent récolté par la vente des
Cadres dépassait 80.000F. Les
cadres ont été vendus par la librairie sans être déclaré, il n’y a
probablement pas eu de redevance de T.V.A ni de Taxe d’importation. Monsieur SEFRIOUI, voulait
imposer un de ses amis pour conduire la liste et afin de supprimer toutes les
contestations, prétendait que la personne était désignée par l’Iran et le
Maroc. Les Musulmans veulent avoir un lieu de prière, cette envie est
légitime, je la défends avec toute ma force, mais je pense que si la mosquée
devient un lieu de trafique de main-d’œuvre étrangère et que les dirigeants
de la Mosquée soient suspectés de pédophilie ou de fraude fiscale, la
construction de la mosquée n’apporterait que déception pour les Musulmans. Aux Ulis, plus de 4000
électeurs potentiels et 1400 électeurs inscrits sont de conviction Musulmane,
c’est ce que Monsieur El Midaoui et moi-même, en consultant les noms des
électeurs inscrits, avons constaté. L’association
a envoyé pour toute personne portant un nom musulman ou étant née dans un
pays musulman, une lettre comportant un verset du Coran proposant en échange
de leur voix, une demeure au paradis. (concernant cette affaire il
y a eu une contestation et un litige porté devant le Tribunal de Versailles
par un autre musulman.) 350 voix étaient le
résultat de cette honteuse proposition. Il s’agit de mépriser le principe de
l’Islam. (Votez pour nous, nous vous donnons le
paradis.) Qui êtes-vous ? Vous-vous prenez pour Dieu ?
Certains homosexuels, se trompant de nom ont voté pour cette liste, pensant
qu’il s’agissait de l’association ARC-EN-CIEL, association
d’homosexuels. Les sympathisants
de notre association qui n’était pas musulmans et ignoraient la proposition
honteuse, ont voté pour cette liste. En résumé, les Musulmans Ulissiens n’ont
pas accordé leur confiance à l’association se déclarant leur tutrice. C’est
l’intelligence des Musulmans et le refus de voter pour la liste de
l’association se déclarant tutrice des musulmans, qui m’ont encouragé à leur
écrire et à dévoiler la vérité. La vérité est qu’un condamné de droit commun
ne peut représenter notre communauté. Il faut qu’une autre association de
Musulmans construise notre mosquée. La Municipalité veut nous imposer les
maillons faibles de notre
communauté, il nous appartient de la contester. |