Les travaux fictifs, sont sujet des discutions des journaux, mais qui paie les frais.

 

désinsectisation

Les travaux de réhabilitation

Déclaration au greffe

La cave

Inondation d’une chambre par l’eau de pluie

L’eau

Frais d’Huissier

Une fiche contenant des informations sur les locataires

Les charges

La loi

Demande reconventionnelle

Le décret

Taux de compétence

La jurisprudence

La décision finale

 

Un juge démissionne et prétend être persécuté à cause de ses investigations. La SCIC, en toute impunité, met à la charge des locataires les salaires de certains de ses employés, sans qu’aucun locataire n’ose agir.

Si un locataire agit, les avocats de la société d’HLM demandent aux juges une sanction sévère, afin que l’affaire ne contamine pas les autres locataires.

Les charges locatives sont strictement réglementées par un décret. Ce décret est limitatif.  C’est-à-dire que les juges ne peuvent ajouter des charges supplémentaires.

La Cour de Cassation par une jurisprudence, confirme que le bailleur ne peut mettre à la charge des locataires les frais de dératisation.

Le tribunal d’Ivry-sur-Seine a courageusement rendu une décision : Les frais des gardiens qui ne participent pas à l’entretien des logements ne sont pas à la charge des locataires.

Cette décision a été rendue en dernier ressort. La Cour de Cassation a soutenu ce verdict.

Or, La SCIC HABITAT ILE DE France aux ULIS emploie dans son siège des Amonts, des gardiens donc les salaires sont imputés sur les charges locatives des locataires des AVELINES.

 

Les documents des charges locatives ne sont jamais mis à la disposition des locataires.  Il fallait que le Tribunal de Palaiseau soit saisi pour qu’un seul locataire puisse avoir accès aux charges locatives.

En 2002, l’équivalent de 17200 € d’eau déversée dans les Caves du bâtiment 27 les Avelines, a été imputé à la charge des locataires, y compris les victimes de cette inondation.

Pour l’antenne de télévision (charges locatives), plus de 80.000F ont été imputés annuellement ; ceci était réclamé conformément à l’art 4, sans préciser s’il s’agit de l’article 4 d’une loi, d’un règlement, ou d’un décret. Il y plusieurs millions de lois, règlements et décrets, et cet article 4 ne signifie rien.

Cette affaire est en instance de jugement. Le bailleur n’a formulé aucune explication. Nous publierons ultérieurement, la décision du Tribunal.